César Biojo

ART


César Biojo



Paroles de Katie Farley

Les portraits à base d'huile et les nus humains construits par l'artiste contemporain César Biojo pourraient inévitablement se traduire par un beau processus de décomposition - par lequel il détruit pour créer, évoquant un effet envoûtant. Récupérer les styles du travail post-impressionniste, L'esthétique de Biojo capture un langage très personnel et stimulant qui résonne avec le spectateur. Incorporant la citation de Jean Paul Sartre, "Le regard de l'autre nous fait prendre conscience de nous-mêmes", ses créations interprètent une exploration introspective de l'être humain, prenant en considération leurs conflits, leur nature, et l'existence.

Né en Colombie, 1981, César Biojo réalise ses portraits à Barcelone, réaliser des affichages visuellement enivrants qui dépeignent une infusion créative de réalisme, impressionnisme et art abstrait.

« J'aime définir ma peinture comme une recherche constante sur la nature humaine. Ma peinture n'est pas politique, course, l'histoire, mon héritage colombien ou quoi que ce soit d'autre que notre condition humaine. je, ainsi, trouver le nu comme le moyen le plus direct d'approcher les humains sans tomber dans le récit temporel ou d'époque que les vêtements peuvent connoter,» vocalise l'artiste à propos de ses raisonnements artistiques.

Chaque peinture qui sort de son atelier vit inévitablement un accident innovant, avec les conséquences de l'équilibre idéaliste entre le méticuleux et le moins méticuleux comme une allégorie de l'existence elle-même. Les portraits de Biojo sont finalement révélateurs de "d'où nous venons, où nous sommes et que nous allons mourir", qui explore le concept de formation et celui d'annihilation. La difficulté réside dans l'application de trop éclabousser la peinture qui détruit le portrait original et de savoir quand c'est assez. "Je crois que trouver l'équilibre "parfait" est inévitablement un objectif éphémère, n'être saisissable que pendant une courte période de temps, comme une vie humaine!”, César avoue.

Une vague de forces contradictoires se heurte lorsqu'il peint ses œuvres émotionnelles, définir ses applications parfaites et imparfaites. Être planifié et imprévisible, apollinien et dionysiaque, ordonné et hystérique et puis certains, se traduit par l'incroyable engagement, nous, en tant que téléspectateurs, extrait de l'esthétique saisissante de l'artiste. Une beauté instable prend le dessus, rendant son art incroyablement idiosyncratique et quelque peu déconcertant à la fois.

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